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L’état voyageur
CHRONIQUES VAGABONDES

Découvrez une autre façon de voyager. Une invitation à partir pour soi, un livre à la main et sans montre au poignet. 

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un livre original

21 chroniques et autant d’extraits pour plonger dans une invitation sensible et littéraire. Un cheminement ponctué des classiques du voyage ou de la marche : Nicolas Bouvier, Simone de Beauvoir, Jack London, Joseph Kessel, Paolo Rumiz ou des choix plus personnels : Michel Peissel, Isabelle Autissier, Irene Vallejo, Gabrielle Filteau-Chiba…


Des mots qui donnent envie de repartir marcher pour quelques heures ou plusieurs jours, de savourer le voyage qui prend son temps, de « goûter le vent » un livre à la main, tandis que sa présence infuse le paysage. 

 

Un texte qui met en résonance nos émotions de voyageurs et propose d’en garder la trace.

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« Létat voyageur est une quête de liberté. À force décriture, j'ai compris que mon lieu essentiel n'était pas un lieu extérieur, exotique ou familier, ni même une montagne. iI est le creux au cœur du ventre, la vibration dun corps qui éprouve sa liberté. Je crois que cest le lot de celles et ceux qui aiment le voyage. »

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le carnet

Carnet d’écriture et de dessin pour garder la trace de ses états de voyage.

62 pages vierges.

Papier Munken ivoire.

Petite philosophie de l’état voyageur.

Carte vierge de l’état voyageur détachable.

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« J'ai toujours eu l'effroi des choses définitives.

Il y en a qui ont peur de l'instable, moi, j'ai la crainte du contraire. On dit : Ah, si je n'étais pas parti, si je n'avais pas ouvert la main et laissée échapper ce qu'elle tenait, si je n'avais pas renoncé ! Eh bien, si l'on n'était pas parti, les choses seraient parties, si l'on n'avait pas ouvert la main, ce que l'on y tenait serré, comme le sable fin des dunes, se serait échappé entre nos doigts vainement crispés. Si l'on n'avait pas renoncé, cela aurait été les autres, êtres ou choses, qui auraient renoncé à nous. L'eau du torrent coule, coule ; les mondes tournent, tout se meut, tout passe, tout se transforme ; l'immobilité,  la stabilité sont des rêves de fou. »

 

Alexandra David-Neel, lettre à son mari, 1915

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